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Concert Suspect 95 offre un magnifique spectacle Ă  son public Abidjan le 27 Mars 2021. Le rappeur ivoirien Suspect 95 a fait le plein du Leprojet concernera exclusivement un mĂȘme programme sur toutes les reprĂ©sentations (pas d’aide Ă  la saison d’un lieu, ou sur diffĂ©rents spectacles). Pour les crĂ©ations, un nombre minimum de services de rĂ©pĂ©tition est exigĂ© pour tout artiste-interprĂšte salariĂ©, Ă  rĂ©aliser Ă  compter de 4 mois avant la premiĂšre reprĂ©sentation : Lespectacle vise Ă  raconter, Ă  partir d’images d’archives et de tableaux vivants, le dĂ©barquement du 6 juin 1944, de sa prĂ©paration Ă  la bataille de Normandie qui a suivi. PubliĂ©le 01/08/2022 Ă  17:19. PrĂšs de 1 500 spectacles, 3 000 professionnels du secteur culturel, un budget de 12 millions d’euros dont les BiensĂ»r, la piĂšce se termine mal et laisse la bouche pleine de sang. Vous verrez, on y prend vite goĂ»t. Tous les soirs Ă  19h du 7 au 29 juillet Ă  l’Îlot Chapiteaux, 353 chemin des Site Rencontre Entierement Gratuit Pour Homme. À l’occasion de la Nuit des Etoiles, la nouvelle association de Latoue, LACUNAPA LAtoue CUltures NAtures et PAtrimoine, a organisĂ©, pour sa premiĂšre manifestation, une randonnĂ©e Ă  la belle Ă©toile avec dĂ©part et arrivĂ©e de et Ă  la chapelle Sainte-Radegonde vendredi 12 aoĂ»t au soir. AnimĂ©e par Jean-Luc, conteur, qui devait conter "Joan de l’Ors" durant la rando, et en prĂ©sence de Tore Gronningsaeter, astronome norvĂ©gien, prĂ©sident du club d’astronomie du Comminges et Latois d’adoption, cette randonnĂ©e a ravi la centaine de participants, dont plusieurs enfants. Le choix de ce rendez-vous culturel vient du fait que cette annĂ©e, le spectacle annuel des Ă©toiles filantes ou PersĂ©ides essaim de mĂ©tĂ©ores constituĂ© de dĂ©bris de la comĂšte Swift-Tuttle Ă  proximitĂ© du soleil, visible dans l’atmosphĂšre terrestre atteignait son point culminant dans la nuit du 12 au 13 aoĂ»t mĂȘme si la Pleine Lune, illuminant le ciel nocturne, a affectĂ© la visibilitĂ© des Ă©toiles filantes les moins brillantes. Mais, prĂ©servĂ©s des lumiĂšres parasitaires, tous les participants Ă  cette randonnĂ©e nocturne ont pu profiter d’un spectacle inoubliable. Sortir Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s 6 minutes Ă  lire PubliĂ© le 25/07/22 Partager Tiago Rodrigues et Olivier Py passage de tĂ©moin entre le nouveau et l’ancien directeur du festival d’Avignon. Photo Christophe Raynaud de Lage Les temps forts, l’accompagnement de la Ville, son avenir personnel
 À l’heure de passer le relais Ă  Tiago Rodrigues, Olivier Py, qui a dirigĂ© Avignon pendant huit ans, dresse le bilan de son expĂ©rience de directeur du plus grand festival de théùtre. AprĂšs avoir adressĂ© une lettre vibrante d’émotions Ă  son successeur Tiago Rodrigues, lors de son ultime confĂ©rence de presse Ă  la direction du Festival d’Avignon le metteur en scĂšne et Ă©crivain Olivier Py, 57 ans depuis le 24 juillet, tĂ©moigne de ses annĂ©es avignonnaises et du bilan qu’il en tire, depuis son arrivĂ©e en 2014 dans la glorieuse CitĂ© des papes. Festival d’Avignon la bouleversante lettre d’adieu d’Olivier Py 6 minutes Ă  lire Comment vous sentez-vous lors de ces derniĂšres journĂ©es Ă  la tĂȘte du festival ? DĂ©truit. Avignon, c’est ma vie, ma ville. Et ça restera ma ville. Parce que j’y ai tout dĂ©couvert. Le théùtre, la politique, l’amour, le fait qu’on pouvait agir sur le monde via la scĂšne. Le Festival d’Avignon a ensemencĂ©, fertilisĂ© mon existence. Il encourage des audaces, des prises de risques qu’on n’imagine mĂȘme pas Ă  Paris. Toutes les expĂ©riences y sont possibles. Il exacerbe, exalte les limites des crĂ©ateurs. GrĂące Ă  son public, sans doute, toujours exceptionnel depuis sa crĂ©ation en 1947, et comme il n’en existe nulle part ailleurs, Ă  la fois ouvert, populaire et incroyablement savant. MĂȘme si je regrette aujourd’hui, bien qu’il rajeunisse, qu’il y manque curieusement la gĂ©nĂ©ration des 40 ans ; on les a perdus, on les rĂ©cupĂšre Ă  50 ans. Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement DĂ©sabonnement simple DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Je me connecte DĂ©couvrir toutes nos offres théùtre Avignon Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rĂ©daction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dĂ©pĂŽt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicitĂ© personnalisĂ©e. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. 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Dans C Ă  vous» mardi soir, Patrick Cohen s’est prĂȘtĂ© Ă  l’exercice face Ă  Alexis Michalik, quitte Ă  en dire trop. Le metteur en scĂšne Ă©tait invitĂ© du talk-show de France 5 pour parler d’un documentaire Ă  son sujet qui sera diffusĂ© sur la mĂȘme chaĂźne, ce vendredi Ă  22h40. Alexis Michalik, l’homme pressĂ© raconte comment l’artiste français a rĂ©ussi Ă  adapter un film de Mel Brooks en une piĂšce de théùtre Ă  succĂšs, Les producteurs.» LIRE AUSSI - Il est dommage qu’elle Ă©vite la confrontation» Patrick Cohen rĂ©agit au refus de Marine Le Pen de participer Ă  C Ă  vous»L’échange entre l’invitĂ© et la bande de C Ă  vous» se dĂ©roulait sans accroc jusqu’à l’intervention de Patrick Cohenqui a lĂ©gĂšrement refroidi le metteur en scĂšne. Alors que le chroniqueur commence Ă  donner le pitch de la piĂšce, l’éditorialiste qualifie les deux protagonistes de minables, filous». Alexis Michalik s’empresse de le corriger Un producteur sur le retour et un jeune comptable.» Peu rĂ©ceptif Ă  cette premiĂšre maladresse,Patrick Cohencontinue Ă  dĂ©tailler la piĂšce mais se fait interrompre par son invitĂ©, qui lĂąche, ironique TrĂšs trĂšs bien pitchĂ©, merci!»Face Ă  l’air interrogateur de son interlocuteur, Alexis Michalik ajoute que son rĂ©sumĂ© n’est pas mal» avant de mieux prĂ©senter la piĂšce Ă  son tour. Ils dĂ©cident de faire le plus mauvais spectacle possible pour garder l’argent parce que si le spectacle s’arrĂȘte Ă  la premiĂšre personne ne viendra leur demander oĂč est l’argent. Et l’argent qu’ils auront levĂ©, ils le garderont pour eux», synthĂ©tise le rĂ©alisateur d’ d’Anne-Élisabeth LemoineDĂ©terminĂ© Ă  reprendre la parole, Patrick Cohen s’emballe et rĂ©vĂšle la fin du spectacle d’Alexis Michalik. Et donc ils choisissent la crĂ©ation d’un ancien nazi qui a Ă©crit “Des fleurs pour Hitler”, le truc improbable», initie-t-il. Tout Ă  fait», confirme le metteur en scĂšne. Le journaliste, enthousiaste, se laisse aller jusqu’à raconter la fin. Et ça marche!», lance-t-il avec un grand mine joyeuse en parfaite opposition avec celle d’Alexis Michalik. Ça, ça arrive au bout d’une heure trente de spectacle mais merci d’avoir dĂ©jĂ  donnĂ© la fin, peste-t-il dĂ©pitĂ©. Ça fait toujours plaisir». ParticuliĂšrement gĂȘnĂ©, Patrick Cohen tente de se justifier expliquant qu’il n’a pas encore vu le spectacle mais connai[t] le film». Une gaffe qui a provoquĂ© l’hilaritĂ© d’Anne-Élisabeth Lemoine, elle aussi adapte des bourdes, et qui n’a pas vraiment su sauver son chroniqueur.» Suivez toutes les infos de TV Magazine sur Facebook et Twitter .À VOIR AUSSI - Emmanuel Macron rit aux larmes face Ă  la chronique de Bertrand Chameroy dans C Ă  vous» Merci d’avoir donnĂ© la fin de mon spectacle...» Alexis Michalik refroidi par une bourde de Patrick Cohen dans C Ă  vous» S'ABONNERFermerS'abonner Elisabeth Borne a prononcĂ© son discours de politique gĂ©nĂ©rale le 6 juillet 2022. Des mots pour ne rien direC’était lamentable et politique est un spectacle certes, mais dans l’hĂ©micycle, on a jouĂ© une trĂšs mauvaise piĂšceavec Isabelle LarmatLa politique, c’est du théùtre, celui de l’absurde la plupart du temps ; parfois de la comĂ©die. La parole y est creuse ou folle et la gestuelle dĂ©sordonnĂ©e confine au comique. Le bal est costumĂ©. Ça n’est pas pour rien qu’on parle de scĂšne politique ».Le discours de politique gĂ©nĂ©rale que vient de prononcer Madame Borne, dans un hĂ©micycle chauffĂ© par la NUPES, ne fut pas, hĂ©las, sans me rappeler des moments mĂ©morables avec certaines classes de Seconde et m’a solidement confortĂ©e dans l’idĂ©e d’une théùtre, comme en politique, on travaille la langue. L’euphĂ©misation est largement utilisĂ©e par les politiciens, diffĂ©rente, on le dĂ©plore, de celle qui prĂ©valait chez MoliĂšre ou Racine moqueuse ou poĂ©tique, elle donnait alors un supplĂ©ment d’ñme au rĂ©el. L’euphĂ©misation en politique, elle, rogne les aspĂ©ritĂ©s du monde voire le nie afin d’anesthĂ©sier un peuple rendu par lĂ  mĂȘme docile et pĂ©riphrase ou autres procĂ©dĂ©s stylistiques ne servent plus qu’à travestir la rĂ©alitĂ© en l’arasant mal -voyant », personne Ă  mobilitĂ© rĂ©duite » ou en situation de handicap », le jeune », l’individu connu dĂ©favorablement des services de Police » Couvrez ce sein que je ne saurais voir !On ne se contente pas, avec les mots, de rogner les aspĂ©ritĂ©s du rĂ©el. On va souvent jusqu’ Ă  sa complĂšte transformation. Ainsi, GĂ©rald Darmanin n’a pas hĂ©sitĂ©, totalement dĂ©pourvu de vergogne, Ă  mettre les exactions du stade de France sur le dos des Anglais. Depuis, quand mon fils doit traverser le quartier de la GuillotiĂšre avec des amis, il y en a toujours un pour faire ce qui est devenu la blague du moment Les mecs, sortez vos passeports, on arrive en Angleterre. »À Lire AussiLa gauche dans tous ses Ă©tats sectaire, intolĂ©rante et sans pitiĂ©On constate aussi un recours Ă©hontĂ© Ă  l’emphase et Ă  l’hyperbole quand il s’agit de terroriser les Français. Emmanuel Macron nous a martelĂ© que nous Ă©tions en guerre » contre 
 un virus. GĂ©rald Darmanin, encore lui, n’hĂ©site pas Ă  clamer LFI et le RN sont nos ennemis. », s’asseyant allĂšgrement, au passage, sur la dĂ©mocratie qui a Ă©lu dĂ©putĂ©s des membres de ces partis. Et bien sĂ»r, on vous passe les tirades enlevĂ©es du sieur MĂ©lenchon qui piaffe sur le pas de la porte de jour, c’est Ă  une reprĂ©sentation de La Cantatrice chauve » de Ionesco qu’on assiste. L’incommunicabilitĂ© donne sa pleine mesure dans un dialogue impossible tandis que la parole dĂ©lirante se dĂ©lite, voir par exemple la scĂšne XI de cette MARTINLe papier c’est pourĂ©crire, le chat, c’est pour le rat. Le fromage, c’est pour SMITHL’automobile va trĂšs vite, mais la cuisiniĂšre prĂ©-pare mieux les MARTINNe soyez pas dindons, embrassez plutĂŽt le politique sĂ©vit encore la rumeur, telle que nous l’a dĂ©crite Bazile dans Le Barbier deSĂ©ville » de Beaumarchais Acte II scĂšne 8, alors qu’il Ă©voque, lui, la MeToo, les accusations, multiples, sont lancĂ©es et propagĂ©es avant mĂȘme que la justice ne les ait avĂ©rĂ©es. Gestes dĂ©placĂ©s, harcĂšlement sexuel voire viol, sont imputĂ©s aux Ă©lus de tous bords. D’abord un bruit lĂ©ger,rasant le sol comme hirondelle avant l’orage,pianissimo murmure et file, et sĂšme en courant le trait empoisonnĂ©. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse Ă  l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe. Il rampe, il chemine et rinforzando de bouche en bouche il va le diable. »À Lire AussiIl y a des morts qui sont plus belles que la vieAvec le discours de politique gĂ©nĂ©rale du Premier ministre, c’est la bataille d’Hernani qu’on vient de revivre. Les claqueurs de LFI, au sommet de leur forme ont multipliĂ© sifflets et huĂ©es pour faire tomber la piĂšce proposĂ©e par Emmanuel Macron. Ils ont orchestrĂ© un chahut de mauvais goĂ»t qu’ils ont poursuivi Ă  l’extĂ©rieur de l’AssemblĂ©e. Ce fut alors, dans l’esprit du Carnaval, l’enterrement du front rĂ©publicain organisĂ© par une bande de guignols ceints de leur Ă©charpe faut bien en convenir, Ă  la dĂ©charge des pitres de LFI, mĂȘme si nous trouvons le procĂ©dĂ© grossier, que la prestation d’Élisabeth Borne, premier rĂŽle fĂ©minin, fut assez terne. Elle dĂ©bita son texte d’un ton monocorde. Puis, hĂ©raut du compromis, elle donna d’une voix atone des garanties sur des rĂ©formes futures et Ă  venir visant Ă  satisfaire Ă  droite comme Ă  gauche ; promit une batterie de consultations programmĂ©es dĂšs septembre ». Jamais, elle ne fit mine d’avoir compris que de l’eau tiĂšde, nous avions la tirade finale oĂč elle revint sur son enfance d’orpheline sauvĂ©e par une RĂ©publique qui lui permit d’inflĂ©chir le cours d’une destinĂ©e tragique fut de nature Ă  Ă©galement l’agitation du vibrion qui s’est substituĂ©e chez nos hommes politiques Ă  une action que le peuple appelle dĂ©sespĂ©rĂ©ment de ses ministres se font fort de quadriller la France comme une scĂšne de théùtre, multipliant des dĂ©placements mĂ©diatisĂ©s, Ă  l’utilitĂ© douteuse. Au cours de pĂ©rĂ©grinations stĂ©riles, ils dispensent gĂ©nĂ©reusement de creuses paroles On condamne fermement » ici. LĂ , on s’insurge avec force ». LĂ -bas, on affirme que toutes les mesures seront prises pour lutter contre ». Contre quoi ? Peu importe, personne ne s’en souvient un clou chassant l’autre. Cette agitation dĂ©sordonnĂ©e crĂ©e le sentiment, pour celui qui y assiste, que les politiques-acteurs ont perdu tout contrĂŽle de leur action. Ils se contentent de saturer d’un vide sidĂ©ral l’espace oĂč ils Ă©voluent, le remplissant avec ce qu’ils peuvent. Ainsi fait Ionesco dans sa piĂšce Les Chaises » Ă  la fin de la piĂšce, les siĂšges, destinĂ©s Ă  d’invisibles convives, envahissent la scĂšne, jusqu’à l’encombrer mot enfin sur les costumes qui participent de cette théùtralitĂ©. La NUPES fait ostensiblement dans le dĂ©braillĂ©, sans cravate. BientĂŽt, on n’en doute pas une seconde, sans chemise et sans pantalon, pantalonnade oblige. Le RN, lui, tirĂ© Ă  quatre Ă©pingles, est dĂ»ment cravatĂ©, la chemise boutonnĂ©e jusqu’au col et le costume sanglĂ©. Il s’agit lĂ , pour le parti de Marine Le Pen, de surjouer une respectabilitĂ© que ses adversaires s’obstinent Ă  lui se rĂ©jouisse, le spectacle ne fait que commencer ! Isabelle Larmat, professeur de Lettres Nationale, dĂ©putĂ©s, Marine Le Pen, classique, LittĂ©rature, Opposition, Machiavel, Emmanuel Macron, vote de confiance, la France insoumise, hĂ©micycle, Elisabeth Borne, discours de politique gĂ©nĂ©rale, oeuvres, Rassemblement National, PremiĂšre ministre, Hernani, littĂ©rature classique, NUPES, femme PremiĂšre ministre, Les chaises, Mathilde Panot, La cantatrice chauveThĂ©matiques

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